Projet

2020 Résidence Mainguy-Plante

résidence du marais

La résidence du MARAIS est délicatement déposée devant une étendue d’eau paisible avec comme voisinage poissons, amphibiens et grands hérons. Cette maison laurentienne, au petit gabarit, a été conçue sur mesure pour un charmant couple actif en quête de minimalisme.

De par sa nature humide, l’implantation de la future résidence se devait de respecter la zone de protection du marais et imposait donc une superficie restreinte. Implantée sur un terrain plat, la résidence de nature contemporaine se présente sur un seul plancher et ne dépasse pas les 860 pi2 (80m2).En forme de « U », la volumétrie permet à la chambre à coucher principale et à la véranda moustiquaire de s’avancer vers la nature, tandis que l’aire de vie se retire pour plus d’intimité. Le plafond cathédral, recouvert de panneaux de contreplaqué récupérés, apporte une touche unique à l’ensemble architectural. Une abondance de lumière venant de la fenestration située au sud, inonde toute la maisonnée, du matin au soir. Afin de conserver le minimum de superficie, les pièces sont pensées afin de répondre à plusieurs usages à la fois. La salle de yoga se transforme en 2 clics en bureau de travail et aussi rapidement en chambre d’amis. La table de salon se converti en table à manger pour 6 personnes et hop ! par ici la visite. L’entrée est compacte, tout en longeant garde-robe, salle mécanique, salle de lavage et vélos.

L’architecture de la résidence du MARAIS est marquée par le toit principal mono pente et ses matériaux extérieurs naturels, tels que le revêtement de cèdre grisonnant. L’entrée principale se démarque par son toit plat et les panneaux de fibrociment peints de couleur noir. De larges poutres et poteaux de bois encadrent la véranda et la petite terrasse couverte.

Pas d’extra, pas de flafla…simplement que du beau, de l’essentiel et du naturel. Verdict des propriétaires : mandat réussi !

 

  • Type : nouvelle construction
  • Localisation : Val-David, Qc.
  • Aire : 860 pi²
  • Crédit photos : Annie Fafard